ou le musc, me le jasmin ou le narcisse, me le bois deРrose et me l'iris... Ce parfum était un mélange des deux, de ce qui passeРet de ce qui pèse; pas un mélange, une unité, et avec ça modeste et faible, etРpourtant robuste et serré, comme un morceau de fine soie chatoyante... etРpourtant me de la soie, me du lait au miel où fond un biscuit -Рce qui pour le coup n'allait pas du tout ensemble : du lait et de la soie!Рpréhensible, ce parfum, indescriptible, impossible à classer d'aucuneРmanière, de fait il n'aurait pas dû exister. Et cependant il était là, avec unРnaturel parfait et splendide. Grenouille le suivait, le coeur cognant d'anxiété,Рcar il soupçonnait que ce n'était pas lui qui suivait le parfum, mais queРc'était le parfum qui l'avait fait captif et l'attirait à présent vers lui;
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